CARACTÉROLOGIE

CARACTÉROLOGIE
CARACTÉROLOGIE

Un typographe manipule des caractères d’imprimerie parce que, dans l’ancienne Grèce, 精羽神礼﨟 aussi bien que 﨑見福見精兀福 étaient des marques qui, imprimées sur une série d’objets, indiquaient que ces objets avaient une relation entre eux, par exemple d’appartenir au même propriétaire. Par métaphore, types et caractères furent bientôt les termes désignant les séries d’êtres humains ayant en commun certaines attitudes devant la vie, appartenant aux mêmes familles d’esprit. C’est pourquoi on appellera types en anthropologie différentielle les regroupements de spécifications individuelles qui ne sont liées ni à l’âge, ni au sexe, ni à la race, ni à l’époque, ni aux conditions socio-professionnelles, ni à la pathologie. Physiologues et médecins, surtout observateurs du corps, ont décrit des morpho-types et des biotypes (constitutions, plutôt anatomiques; tempéraments, plutôt physiologiques), auxquels ils ont rattaché des traits de caractère de nature psychologique, tandis que psychologues et moralistes ont plus particulièrement nommé caractères (depuis Théophraste) les structures psychologiques fondamentales sous-jacentes à la personnalité et susceptibles de regroupement; des morphopsychologues ont tenté de trouver des corrélations entre caractères et morphotypes. Enfin d’autres voies de recherche, comme la graphologie, les sciences conjecturales et la psychanalyse font usage de types psychologiques plus ou moins comparables à ceux découverts par la recherche objective.

Définition et justification

Le caractère est l’invariant d’une personnalité, la structure et le style d’une mentalité individuelle tels qu’ils se révèlent dans les conduites et tels qu’ils se dégagent progressivement au cours de l’enfance et se maintiennent jusqu’à la vieillesse à travers les aventures de la vie, les rencontres, l’éducation, la profession, les maladies. On le suppose généralement aussi congénital que la constitution et le tempérament, et c’est la superposition au caractère des acquis de l’histoire individuelle (constellation familiale, éducation, profession) qui constituera la personnalité de chacun (R. Le Senne, G. Berger).

René Le Senne, qui a ranimé les études caractérologiques, définit le caractère comme «l’ensemble des dispositions congénitales qui forment le squelette mental d’un homme». Pour Daniel Lagache, c’est «l’ensemble des dispositions et attitudes qui commandent la manière d’être et de réagir de l’individu dans ses rapports avec le monde extérieur et avec lui-même». Roger Mucchielli transpose ces définitions en termes modernes: «une sorte de régulateur de notre conduite en même temps qu’un principe organisateur des significations de notre environnement».

Pour le philosophe (P. Ricœur, Philosophie de la volonté ), «le caractère est la nécessité la plus proche de ma volonté [...] mon caractère, c’est moi», mais «penser jusqu’au bout mon caractère comme objet, c’est déjà m’en délivrer comme sujet». Je ne suis pas libre de changer de caractère, mais, avec lui et par lui, «j’ai une façon à moi de choisir et de me choisir que je ne choisis pas [...] ce serait une hylè de l’Ego lui-même». «Mon caractère dans ce qu’il a d’immuable n’est que la manière d’être de ma liberté.»

Connaître son propre caractère est une hygiène mentale, connaître celui d’autrui aide à le comprendre et à l’aimer en se désaliénant du racisme spontané qui pousse chacun à faire des constituantes de son propre caractère des normes de valeur. La caractérologie rompt l’égocentrisme naturel et contribue à la tolérance.

Typologies psychologiques à fondement morphologique ou physiologique

On trouvera dans le tableau 2 une présentation et un essai de corrélation des typologies de la médecine traditionnelle (de l’Antiquité à P. Carton et R. Allendy), et des écoles fondées par E. Kretschmer, W. Sheldon, I. P. Pavlov, L. Corman, J. Sigaud, N. Pende et L. Bourdel, tant entre elles qu’avec les typologies proprement psychologiques. Quelque discutables que paraissent ces mises en parallèle, elles soulignent des intuitions communes, qui ont quelques chances de reposer sur un fond de vérité, et une foi en un parallélisme psychophysique que confirmeront sans doute les progrès des connaissances sur les rapports psychosomatiques. Il n’en reste pas moins actuellement imprudent de déduire le type psychologique du seul examen du morphotype, du groupe sanguin ou de tel ou tel fonctionnement endocrinien, et aventureux de le rapporter à un arrêt de développement embryonnaire donnant précellence à tel ou tel feuillet.

Typologies psychologiques proprement dites

Peu après qu’Hippocrate eut rapporté les humeurs de ses contemporains à un supplément de bile, de sang, de bile noire ou de lymphe, Aristote, dans la ligne du «connais-toi toi-même» socratique, se penchait en moraliste sur la «manière d’être» ( 兀礼﨟, habitus ) de chacun; à sa suite, Dicéarque, Aristoxène, Cléarque, Douris, Ariston de Téos s’attachèrent à ordonner ces manières d’être. Le recueil de Caractères attribué à Théophraste (372-287 av. J.-C.) est assez médiocre, et limité à la description de défauts (le menteur, le flatteur...). Son traducteur et continuateur, La Bruyère (1645-1696), développe avec beaucoup de finesse et en un style savoureux cette description de traits de caractère ou de personnalité, encore trop entachée de jugements de valeur.

L’ère scientifique de la typologie psychologique est inaugurée par un article de T. Ribot (1892, repris dans la Psychologie des sentiments , 1896), qui a d’emblée le grand mérite de viser à couvrir tout le champ de la variété humaine psychologique, en discernant deux types forts, les sensitifs et les actifs, et deux types faibles, les amorphes et les instables. Paraîtront peu après et coup sur coup les travaux de B. Pérez (six types de manifestations motrices: vifs, lents, etc.), de F. Paulhan (intéressant surtout par sa distinction ultérieure, en 1924, entre «présentistes» et «non-présentistes», très proche de celle que fait O. Gross entre primaires et secondaires), de A. Fouillée, F. Queyrat, C. Ribéry, et surtout de P. Malapert (1897), qui résume et perfectionne les systèmes de ses prédécesseurs en un schéma (voir tabl. 1) qui mérite d’être conservé et qui d’ailleurs fera autorité jusqu’aux travaux de Le Senne.

Le Senne (1882-1954), philosophe idéo-existentiel, disciple de Bergson et de Hamelin, donna un nouvel essor à la caractérologie en vulgarisant, perfectionnant et développant dans une perspective de communication des consciences, à partir de 1930 et surtout avec son Traité de caractérologie (1945), les découvertes remontant à 1908 de deux Hollandais précurseurs de l’analyse factorielle, le psychologue G. Heymans (1857-1930) et le psychiatre E. D. Wiersma. Le Senne et ses disciples (G. Berger, 1896-1960, P. Mesnard, 1900-1969, Y. Le Gall, R. Mucchielli, L. Millet, et beaucoup d’autres) acceptent le postulat fondamental de huit types repères du caractère obtenus par la variation au-dessous ou au-dessus d’une moyenne de trois propriétés principales qui sont l’émotivité, l’activité et le retentissement primaire (c’est-à-dire surtout immédiat) ou secondaire (surtout retardé) aux stimulations et aux représentations (cf. tabl. 2). Ces types repères ont assez d’individualité et se prêtent suffisamment à l’observation pour mériter des noms que Le Senne choisit autant que possible dans la terminologie déjà existante, mais en leur donnant un sens plus précis, qui leur est généralement resté. On peut regretter quelques discordances difficilement évitables; c’est ainsi que le nerveux de Le Senne (émotif, non actif, primaire) diffère du nerveux de la tradition, lequel répond plutôt au sentimental du système franco-hollandais.

L’évidente insuffisance de la limitation à huit seuls types a été corrigée par la description de types intermédiaires (passionnés paranerveux ou tourmentés, passionnés paraflegmatiques ou méthodiques), de types dus à l’accentuation d’une propriété (passionnés préactifs ou impétueux, passionnés présecondaires ou sévères) et surtout par les nuances supplémentaires qu’apporte la mise en jeu de propriétés complémentaires – comme l’étroitesse ou la largeur du champ de conscience (empruntée à Pierre Janet), l’avidité (G. Berger), la forme de l’intelligence (R. Maistriaux) – et des propriétés tendancielles: polarité Mars ou Vénus, tendresse, intérêts sensoriels et passion intellectuelle.

Ce système a été appliqué avec fruit à l’interpsychologie de la vie quotidienne (mariage, éducation des enfants), à l’orientation professionnelle, au rapport maître-élève, au rapport médecin-malade, à la criminologie, à l’histoire littéraire. Il a eu un grand succès auprès des maîtres de l’enseignement secondaire, tandis que les professeurs enseignant dans les départements de psychologie restèrent souvent réticents et préférèrent enseigner les recherches américaines d’analyse factorielle de la personnalité (R. Cattell, J. Guilford, H. Eysenck), dont l’impressionnant appareil statistique mesure mal la pauvreté des résultats.

Ce genre d’étude est, en effet, incapable de déboucher sur une typologie; pour Guilford, par exemple, un caractère individuel est fait d’une constellation de traits simplement additionnés (énergique + insouciant + habile à persuader, etc.), tandis qu’un type comme nerveux (EnAP) est une structure plus riche que l’addition des trois éléments qui la constituent et permet une certaine prédictivité: le EnAP est non seulement émotif, peu actif et primaire, mais encore, de ce fait, mobile dans ses sentiments, sensible aux modes, d’une véracité modérée.

Typologies psychanalytiques

Outre les données d’origine alchimique et astrologique (cf. tableau), qui ont joué un rôle non négligeable dans l’histoire de la pensée, il convient de mentionner les typologies nées au sein de la psychanalyse. Une seule est complète, celle de Jung, qui jouit d’un certain succès dans les pays de langue allemande et dont la distinction entre l’extraversion et l’introversion (1913), reprise par H. Rorschach (1920) en termes à peine différents (extratension et introtension), est très précieuse; moins claires sont les descriptions de la prépondérance relative de ces quatre fonctions primordiales que sont l’intuition, le sentiment, la pensée et la sensation, et des huit types qui en dérivent, bien qu’ils présentent certaines analogies avec ceux de la caractérologie des propriétés.

C’est W. Reich (1891-1957), alors jeune disciple de Freud, qui semble avoir inauguré avec son «analyse de caractère» (1925) la notion de caractère en psychanalyse freudienne; Freud lui-même décrivit en 1931 une série de «types libidinaux», et après des fortunes diverses la notion de caractère apparaît en psychanalyse par le biais de «caractères névrotiques» (phobique, obsessionnel, hystérique, psychosomatique), qui ressortissent à l’organisation de la libido et par suite à la personnalité; de «traits de caractère d’allure psychotique» (cyclique, schizoïde, paranoïaque, épileptique); de «névroses de caractère» (déséquilibrés et pervers, caractères oral, anal, phallique, masochiste et autopunitif), où le mode de relation du sujet avec ses objets constitue l’essentiel du trouble. Quel que soit l’intérêt de ces recherches, elles se limitent à des traits et à des attitudes qui sont particuliers et se situent à la limite du morbide. Ce sont des «caractérologies partielles» qui n’ont pas la prétention de classer l’ensemble d’une population.

caractérologie [ karakterɔlɔʒi ] n. f.
• 1945; caractériologie 1909; de caractère et -logie, d'apr. l'all.
Didact. Étude psychologique des types de caractères. Adj. CARACTÉROLOGIQUE .

caractérologie nom féminin (allemand Charakterologie) Étude psychologique des caractères individuels pour élaborer des classifications en types et en tempéraments.

caractérologie
n. f. Partie de la psychologie qui étudie les types de caractères.

⇒CARACTÉROLOGIE, subst. fém.
PSYCHOL. Branche de la psychologie ayant pour objet l'étude du caractère de l'homme pris individuellement ou en société afin d'établir une ou plusieurs classification(s) d'après des critères d'ordre psychologique, biologique et (ou) sociologique (cf. également typologie). Existe-t-il donc, sous le type, des structures propres à l'être personnel? C'est le problème central qui se pose à la caractérologie (MOUNIER, Traité du caractère, 1946, p. 42) :
1. ... c'est parce qu'on les [les « qualités » caractérologiques] a réalisées en dehors des situations concrètes qui leur confèrent un sens, qu'on a cru possible d'établir en caractérologie des « types moyens ».
J. VUILLEMIN, L'Être et le travail, 1949, p. 154.
2. Il [Freud] a jeté les bases de toute une caractérologie psychanalytique définie par des fixations ou des régressions aux différents stades du développement sexuel infantile.
J. DELAY, Ét. de psychol. méd., 1953, p. 157.
SYNT. Caractérologie générale; — biologique, clinique, descriptive, sociale; — de l'enfant, de l'adolescent; — expérimentale, médicale, personnaliste, positive, structurelle; critères, méthode, tests de —; école, traité de —.
Rem. On rencontre ds la docum. le subst. masc. caractérologue. Psychologue spécialisé dans l'étude du caractère. La dualité intérieure au facteur émotif pose un problème au caractérologue (MOUNIER, op. cit., p. 227). Les caractérologues feront difficilement croire qu'un enfant amorphe a autant d'avenir qu'un autre et peut gagner une personnalité aussi riche (Jeux et sp., 1968, p. 102).
Prononc. :[]. Étymol. et Hist. 1945 (R. LE SENNE, Traité de caractérol., Paris, P.U.F., pp. 1-2 : Au sens étroit, la caractérologie est la connaissance des caractères, si l'on entend par ce mot le squelette permanent de dispositions qui constituent la structure mentale de l'homme). Empr. à l'all. Charakterologie, 1867 (JULIUS BAHNSEN, Beiträgen zur Charakterologie ds W. HEHLMANN, Wörterbuch der Psychologie, Stuttgart, 1968). Fréq. abs. littér. :78.
DÉR. Caractérologie, adj. Qui se rapporte à ou qui concerne le caractère et son étude. Analyse, classification, étude caractérologique; constantes, dispositions, facteurs caractérologiques; l'arbre, le tableau caractérologique; la formule caractérologique d'un individu. Certains sujets ont un tableau caractérologique dominé par leurs refoulements (MOUNIER, Traité du caractère, 1946 p. 439). 1re attest. 1945 (R. LE SENNE, Traité de caractérol., Paris, P.U.F.,p. 3); de caractérologie, suff. -ique. Fréq. abs. littér. : 79.
BBG. — DUB. Dér. 1962, p. 42 (s.v. caractérologue).

caractérologie [kaʀakteʀɔlɔʒi] n. f.
ÉTYM. 1945; caractériologie, 1909, in D. D. L.; de caractère, et -logie, d'après l'allemand.
Didact. Étude psychologique des types de caractères.On dit aussi caractériologie. Éthologie, 2. (vx).
1 Au sens étroit, la caractérologie est la connaissance des caractères, si l'on entend par ce mot le squelette permanent de dispositions qui constitue la structure mentale de l'homme (…) La caractérologie n'en retient que (…) le système invariable de nécessités qui se trouve pour ainsi dire aux confins de l'organique et du mental. Les travaux de Malapert, de Heymans et Wiersma, de Kretschmer même (…) relèvent de ce premier sens du mot.
Au sens large, souvent employé par les Allemands, la caractérologie porte, non seulement sur ce qu'il y a de permanent (…) dans l'esprit d'un homme, mais sur la manière dont cet homme exploite le fonds congénital de lui-même, le spécifie, le compense, réagit sur lui. Suivant ce deuxième sens l'Individualpsychologie d'Alfred Adler est une section de la caractérologie (…)
Dans cet ouvrage (…) le mot de caractérologie sera toujours pris au sens étroit.
R. Le Senne, Traité de caractérologie, Préface, p. 1-2.
2 On peut distinguer deux grands types de caractérologie, l'une (sic) constitutionnelle, qui s'intéresse surtout à la constitution d'un individu et aux facteurs innés, l'autre institutionnelle qui s'intéresse surtout à l'histoire d'un individu et aux facteurs acquis. La première est à orientation biologique, la seconde à orientation sociologique.
Jean Delay, Introd. à la médecine psychosomatique, Notes et observations, p. 87.
tableau Noms de sciences et d'activités à caractère scientifique.
DÉR. Caractérologique, caractérologue.

Encyclopédie Universelle. 2012.

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